Articles publiés dans cette rubrique
Des « poèmes barbares » ? Petite finale en forme de fugue (6/6)
Finale de la finale avec la chanson « Ah ! L’éloquence » !……. ou : de quelques barbarismes, solécismes et impropriétés soigneusement choisis par l’auteur Jean-Raphaël Febbrari, plus connu sous l’abréviation Jean Rafa 1910-1998), et chantés par André Raimbourg, plus connu sous le nom de Bourvil (1917-1970). En 1950, il interprète avec Pierrette Bruno (1928-2015) la chanson de Jean Rafa :
Ah ! L’éloquence !
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samedi 30 septembre 2017
Les Pères de l’Eglise et les Barbares
Le prochain colloque de Patristique et d’Histoire ancienne de La Rochelle portera sur les « Pères de l’Eglise et les Barbares » : Comment penser, accueillir
et contrôler l’irruption des « autres » ? Les 6, 7 et 8 octobre 2017 à la Rochelle (Les Minimes).
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vendredi 20 octobre 2017
Les langues : frontières ou passerelles ?
Les communications du dimanche matin données au Centre Jean-Baptiste Souzy s’inscrivent dans une perspective d’actualisation de la problématique traitée dans l’aire patristique. James Barnett, prêtre anglican, Commission inter-européenne sur l’église et l’école (ICCS) auprès du Conseil de l’Europe.
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« Les Pères de l’Eglise et les Barbares » : regards angevins
Le colloque de Patristique et d’Histoire ancienne « Les Pères de l’Eglise et les Barbares » qui s’est tenu les 6, 7 et 8 octobre derniers à La Rochelle présentait une double qualité si parfaite qu’elle en devient presque hypocrite : choisir un thème d’une actualité brûlante, comme l’indiquait le sous-titre de l’évènement, et en même temps s’inscrire dans une rigueur scientifique si bien tenue qu’elle interdisait tout raccourci simpliste entre l’Antiquité tardive et notre temps.
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Qu’est-ce qu’un barbare ? (I)
Les communications du dimanche matin données au Centre Jean-Baptiste Souzy s’inscrivent dans une perspective d’actualisation de la problématique traitée dans l’aire patristique. Jacques Ricot, Agrégé et docteur en philosophie, Chercheur associé au Centre Atlantique de Philosophie, (Caphi EA 7463), Université de Nantes.
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Des « Poèmes barbares » ? Petite finale en forme de fugue (1/6)
Dans le domaine musical la fugue est une forme de composition qui relève du contrepoint, technique suivant laquelle on développe simultanément plusieurs lignes mélodiques. Même s’il existe un certain ordre dans le déroulement de cette petite finale nous entendrons que des « conversations » se nouent d’un auteur à un autre et des lecteurs de l’un aux lecteurs de l’autre, des conversations passionnées au point d’en devenir orageuses à maintes reprises. Faut-il s’en étonner puisque leur thème est le mot « barbare » ?
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Qu’est-ce qu’un « Barbare » ? (II)
Les communications du dimanche matin données au Centre Jean-Baptiste Souzy s’inscrivent dans une perspective d’actualisation de la problématique traitée dans l’aire patristique. Nous retrouvons ici la seconde partie de la communication de Jacques Ricot, Agrégé et docteur en philosophie, Chercheur associé au Centre Atlantique de Philosophie, (Caphi EA 7463), Université de Nantes.
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Des « Poèmes barbares » ? Petite finale en forme de fugue (2/6)
Dans le domaine musical la fugue est une forme de composition qui relève du contrepoint, technique suivant laquelle on développe simultanément plusieurs lignes mélodiques. Même s’il existe un certain ordre dans le déroulement de cette petite finale nous entendrons que des « conversations » se nouent d’un auteur à un autre et des lecteurs de l’un aux lecteurs de l’autre, des conversations passionnées au point d’en devenir orageuses à maintes reprises.
« Vierges martyres » et « Vierges folles » ou la barbarie d’aujourd’hui selon le socialiste Esquiros (1812-1876).
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Des « Poèmes barbares » ? Petite finale en forme de fugue (3/6)
Dans le domaine musical la fugue est une forme de composition qui relève du contrepoint, technique suivant laquelle on développe simultanément plusieurs lignes mélodiques. Même s’il existe un certain ordre dans le déroulement de cette petite finale nous entendrons que des « conversations » se nouent d’un auteur à un autre et des lecteurs de l’un aux lecteurs de l’autre, des conversations passionnées au point d’en devenir orageuses à maintes reprises.
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Des « poèmes barbares » ? Petite finale en forme de fugue (4/6)
Des poèmes délibérément barbares chez les Parnassiens.
Nombre de conflits littéraires bouillonnèrent au XIX
e siècle. En privilégiant l’expression lyrique des sentiments personnels, les romantiques dénonçaient l’excès de rationalisme du siècle précédent. Ils furent rapidement pris à partie par les Parnassiens, qui, eux, n’attendirent pas le siècle suivant pour leur reprocher de pratiquer une littérature utilitariste, au service de leurs sentiments ou de leurs engagements. Parmi les représentants de ce nouveau courant Théophile Gautier, dans la Préface de Mademoiselle de Maupin, n’y va pas par (…)
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